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Démocrite photography
25 septembre 2011

Piméné (2801 m) depuis le cirque d'Estaubé

1 Brèche de Roland

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2 Cirque de Gavarnie

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3 Mont Perdu

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4 Cirque de Gavarnie

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5 Sommet du Piméné, Vignemale et Ardiden (à droite)

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6 Crête du petit Piméné

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7 Cirque d'Estaubé

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8 Cirque d'Estaubé

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9 Le Vignemale et son glacier

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Commentaires
J
Des lieux que j'ai parcouru, un plaisir d'en voir ces images.<br /> <br /> Les miennes sont là :<br /> <br /> http://souliervoyageur.canalblog.com/
D
Que dire chère Sibylle sinon toute ma gratitude pour ces prolongements poétiques. <br /> Pour ce qui est d'un "carnet de voyages pyrénéens", cela viendra...un jour prochain et sans doute, aurez-vous, ce jour-là, votre bon mot à dire.<br /> Bien à vous.
S
C’est à la frange des nuages que surgit el Monte perdido (3355 m), « perdu », oui isolé, éloigné de tout entre les canyons d’Ordessa et de Pineta, plus haut sommet du Marboré : le faîte des Pyrénées. Devant cette superbe photo, c’est une poésie de mon enfance, le « Cor » d’Alfred de Vigny…qui résonne et me revient en mémoire « O montagnes d'azur ! Ô pays adoré ! Rocs de la Frazona, cirque du Marboré, Cascades qui tombez des neiges entraînées ».Entendez-vous le son du Cor ? <br /> Cher Démocrite, je contemple votre épreuve photographique "del Monte perdido" avec admiration et désir, une envie d’aller frotter mon pas « d’hirondelle » aux courbes harmonieuses de ces flancs granitiques. Oui, on se « perdrait » volontiers dans ces montagnes ibériques car elles sont un appel au lâcher prise, à l’abandon des tumultes et des préoccupations humaines. Sur ce cliché automnal, l’hiver murmure déjà son arrivée. Il dépose sa blanche empreinte et ses pures fragrances, discrètes, pures, aériennes. Partage de l’ombreux (premier plan) et du lumineux : présence spontanée. Ce tableau ne figure rien, ne représente rien, il est « auto figuratif », c’est en cela que le réel s’immisce. Les brèches, les marbres et les grés s’entrelacent. Pénétrante vision « d’un rêve étrange mais non familier », rien de brillant, de clinquant, juste un manteau rocheux mat, dépoli par les ans, mais combien remarquable ! Sur ces crêtes le silence domine et règne sans partage, il cicatrise toutes les plaies. <br /> Respirations profondes sur ces hauteurs, loin du vacarme incessant des cités et de la multitude vile. Enfin libre et surtout libérée : douce sérénité. Il était temps !<br /> <br /> Merci à Démocrite pour ce florilège de photos que l’on aimerait pouvoir feuilleter dans un « carnet de voyages pyrénéens » au coin de l’âtre d’une cheminée ou dans des prairies verdoyantes.
S
Magnifique palette de couleurs déposée çà et là sur une roche finement nervurée passant du gris sombre au blanc pur. Quel somptueux dégradé pour le beau Vignemale ! L’ombreux dessine les crêtes, partage, relie la terre et l’azur d’un coup de fusain. Mouvements apparemment antagonistes du proche et du lointain : envoûtante circularité. L’œil du photographe a su « capturer » cet instant : celui d’un tableau toujours éphémère ….<br /> <br /> Merci et bravo à Démocrite<br /> pour ces belles images.
D
Des paysages fabuleux !!<br /> Amicalement.
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